L’Université Privée de Fès (UPF) confirme son statut d’établissement d’enseignement supérieur de premier plan au Maroc, avec un taux d’insertion professionnelle de 87% pour ses diplômés et une stratégie de développement « ambitieuse », selon son président, Mohammed Aziz Lahlou.
S’exprimant lors de la cérémonie de remise des diplômes de la 16ème promotion organisée vendredi à Fès, M. Lahlou a fait savoir que l’année 2024 a vu la formation de 347 lauréats, un chiffre qui se décline en 180 ingénieurs d’Etat, 82 diplômés de l’ENCG, 5 mastères en droit des affaires et 80 licences, a indiqué l’agence de presse MAP.
Cette diversité de profils illustre, a-t-il ajouté, la richesse de l’offre de formation de l’UPF, première université privée reconnue par l’Etat dans la région Fès-Meknès. « L’université propose, au total, 45 programmes de formation à travers ses 7 établissements, y compris un campus à Rabat », a-t-il précisé, selon la même source.
Il a relevé que l’UPF ne se limite pas à la formation initiale, mais dispose également d’un centre d’études doctorales avec deux programmes de doctorat, d’un centre d’excellence sur les batteries et d’un centre d’incubation, affirmant ainsi son engagement en faveur de la recherche et de l’innovation.
Dans le même ordre d’idées, le président de l’UPF a exposé les axes stratégiques de l’établissement, précisant qu’il s’agit notamment d’accroître la reconnaissance scientifique pour renforcer le positionnement de l’université, d’assurer une adéquation optimale entre les formations, les compétences requises et l’insertion des diplômés, de valoriser la recherche scientifique et les compétences internes et de consolider des partenariats académiques et socio-économiques pertinents.
Le bilan des activités scientifiques pour 2024 est tout aussi éloquent, s’est réjoui M. Lahlou, précisant que L’UPF a organisé 8 événements scientifiques, produit 116 publications et mène plusieurs projets de R&D d’envergure, notamment dans les domaines de l’IA, de la médecine et des batteries, en collaboration avec des institutions nationales et internationales de renom, telles que le Centre National Pour La Recherche Scientifique et Technique (CNRST), le Fonds de recherche du Québec (FRQ), l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès (USMBA) et l’Institut de Recherche sur le Cancer (IRC).
M. Lahlou a également mis en exergue le partenariat « stratégique et dynamique » qui lie l’UPF avec le monde socio-économique. Ces chiffres et ces orientations, a-t-il poursuivi, confirment le rôle de l’UPF en tant qu’institution dynamique, engagée dans une démarche d’excellence, d’innovation et de contribution au développement socio-économique.
Cette promotion de 347 lauréats vient s’ajouter à plus de 3000 diplômés déjà formés par l’UPF qui, depuis sa création, s’affirme comme un acteur majeur de l’enseignement supérieur, ayant contribué à l’insertion professionnelle de centaines de jeunes talents sur le marché du travail aux niveaux national et international.