Fouad Abdelmoumni incarne un profil de militant qui prospère dans les périodes de tension et de conflit. Sa dernière réaction, après la grâce royale accordée à certains journalistes et agriculteurs de la région du Rif, n’est rien d’autre qu’une nouvelle démonstration de son incapacité à accepter la fin des tensions.
L’annonce de cette grâce Royale semble avoir pris de court Abdelmoumni et ses acolytes. Plutôt que de saluer le caractère humain de cette démarche qui vise à restaurer une vie normale et apaisée pour les agriculteurs et les journalistes concernés, Abdelmoumni a de nouveau opté pour ses sorties irrationnelles sur les réseaux sociaux dans une qu jei reflète son obsession pour les conflits.
Abdelmoumni, tout comme ses alliés tels que Maati Mounjib et Hassan Bennajeh, semble plus préoccupé par la prolongation du climat de crise que par le bien-être du pays. Leur militantisme n’est pas une quête sincère pour la justice ou la réforme, mais un fond de commerce dont ils tirent profit en exploitant le malheur des autres. La grâce Royale a dévoilé leur vrai visage : celui de l’opposition démesurée, qui préfère s’opposer à tout progrès plutôt que de se réjouir des avancées.
Le fait qu’Abdelmoumni s’en prenne également aux militants qui ont salué ce climat d’apaisement est révélateur de son incapacité à accepter la moindre forme de consensus. Cette attitude ne fait que souligner son rôle dans une guerre idéologique où les militants ne sont que des outils au service de ses ambitions personnelles.
Au lieu de contribuer à la réconciliation et à l’apaisement, Abdelmoumni et ses compagnons semblent déterminés à maintenir un climat de méfiance et de division. En fin de compte, leur comportement ne fait que nuire à l’avenir du pays, tout en illustrant une fois de plus leur véritable nature : celle de ceux qui, pour des raisons opportunistes, ne peuvent supporter que les choses aillent bien.