lundi , 16 septembre 2024

Avec une sale réputation et une fortune à l’origine louche, Hicham Jerando poursuit ses divagations et ses diffamations contre les services de renseignement marocains

Un certain Hicham Jerando, propriétaire d’une usine de textile et de prêt-à-porter établi au Canada, qui se présente comme youTubeur « influent », poursuit ses divagations et ses tribulations en diffamant des personnalités marocaines connues pour leur intégrité, leur patriotisme et leurs services louables à la nation. Déjà, la presse canadienne l’a dénoncé. Selon le site d’information canadien « La Presse », il devra répondre d’une poursuite intentée en Cour supérieur du Québec par l’ancien procureur général du Roi près la Cour d’appel de Casablanca, Najim Bensami. « Il fait aussi face à des accusations criminelles de menaces de mort à l’encontre de l’ancien procureur, aujourd’hui conseiller du ministère de la justice », ajoute la même source.

Hicham Jerando, qui se présente comme un « militant anticorruption » sur TikTok, Facebook et youTube, avait également accusé Najim Bensami, qui a instruit les procès liés aux attentats terroristes de mai 2003, d’avoir « falsifié les aveux » d’accusés.

Sous prétexte de lutte anticorruption, Hicham Jerando a déclenché une vague sans précédent d’accusations malveillantes à l’encontre de différentes personnalités marocaines, y compris au sein de la communauté marocaine résidant au Québec. Il fait d’ailleurs l’objet d’une dizaines de plaintes déposées devant la Cour supérieure du Québec.  Ses dernières sorties sur les réseaux sociaux renseignent sur ses velléités délétères et sur ses accointances avec les ennemis du pays. Il a repris sans foi ni loi les propos incohérents de l’avocat Mohamed Ziane sur l’ « absence » de S.M. le Roi de la scène publique alors que tout le monde, même les étrangers, suivent de près les activités intenses et les décisions stratégiques prises le Souverain et qui ont conduit à mettre le Maroc sur les bons rails du développement et du progrès. Hicham Jerando a également tenté de semer le trouble en faisant accroire qu’il existe entre la direction générale des études et de la documentation (DGED), chapeautée par Yassine Mansouri et la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), dirigée par Abdellatif Hammouchi. Pourtant, ces deux hommes et responsables ont une réputation intacte et sont connus et reconnus pour leur loyauté et leur dévouement au service de la patrie. Aussi, en marchant sur les pas de Mrabet et Mounjib, il a récité mot à mot leurs histoires rocambolesques de « la police politique ».

Ce que ce vendu tente de cacher en relayant ces versions portées par des gens qui ont trahi leur pays, c’est de faire oublier les crimes de son associé Mohamed Moutazaki, en détention provisoire dans le cadre d’une affaire de trafic de drogues. Normal pour quelqu’un qui est rôdé à l’extorsion étant un trafiquant de drogues dont la fortune est suspecte.

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