Le rapport du délégué interministériel aux droits de l’Homme sur « les événements d’Al Hoceima et la protection des droits de l’Homme » a été récemment publié chez la maison d’édition marocaine.
Dans sa préface du rapport, publié en 192 pages, le délégué interministériel aux droits de l’Homme Chaouki Benyoub a écrit que « la corrélation entre responsabilité et reddition des comptes est considérée, à la lumière des dispositions de la Constitution et de sa philosophie, un principe de base, et l’accès et la préservation de l’information un devoir professionnel, alors que la liberté de pensée et d’expression est considérée comme l’un des droits et libertés les plus élémentaires, et le dialogue une vertu ». Il a souligné que le rapport du délégué interministériel aux droits de l’Homme, et non pas celui de la Délégation interministérielle aux droits de l’Homme, sur les événements d’Al Hoceima et la protection des droits de l’Homme, a provoqué un chamboulement d’envergure au niveau de la communication publique, qui s’est répandu dans le temps et l’espace. Partant de ce constat, le délégué interministériel souligne qu’il considère que la publication du rapport émane d’un sens de responsabilité, et dans l’esprit de contribuer à la consécration des traditions et des pratiques en matière de droits de l’Homme et des réalisations du Maroc dans ce sens.