En remportant haut la main la coupe du monde de football des moins de 20 ans, le Maroc conforte ainsi sa place dans la cour des grands du ballon rond mondial, soulignent dimanche des médias américains.
« La victoire des Lionceaux de l’Atlas contre l’Argentine a consolidé l’ascension du Maroc dans le football mondial », écrit le prestigieux magazine spécialisé américain « The Athletic », pour qui le Royaume est désormais une puissance footballistique qui a fait ses preuves, a rapporté l’agence de presse MAP.
La publication rappelle, dans ce cadre, le parcours impressionnant des Lions de l’Atlas lors de la coupe du Monde du Qatar en 2022 lorsque les co-équipiers d’Achraf Hakimi ont défrayé la chronique en se qualifiant en demi-finale de la compétition reine, une première dans le monde arabe et en Afrique, a souligné la même source.
Dans la même veine, le magazine sportif évoque le parcours sans faute de l’équipe nationale lors des qualifications au Mondial de 2026, précisant que les poulains de Walid Regragui n’ont encaissé aucune défaite et furent la première équipe à valider son ticket pour cette grand-messe footballistique co-organisée par les Etats Unis, le Mexique et le Canada l’été prochain.
En revenant au sacre de la sélection des moins de 20 ans, The Athletic a braqué les projecteurs sur les qualités techniques et tactiques de l’équipe nationale sous la houlette de l’entraîneur Mohamed Ouahbi, relevant que cette équipe pétrie de talents a su défendre et mener des contre-attaques efficaces dans le camp adverse.
« La finale, qui s’est démarquée par son intensité, a mis en évidence les principales forces tactiques du Maroc », souligne la même source.
De son côté, la chaîne sportive américaine ESPN a mis en lumière un parcours remarquable au Mondial du Chili, couronné d’un sacre historique pour le Maroc aux dépens de la sélection argentine.
Dans un article publié sur son site internet, la chaine relève que la sélection nationale a pris le meilleur sur des équipes solides comme la Corée du Sud, les Etats-Unis et la France avant de se défaire des représentants du football sud-américain, l’Argentine, qui caressait le rêve de décrocher un septième sacre de son histoire.