Que faut-il encore pour se laisser convaincre dur comme fer que nous vivons depuis quelques heures la fin d’une pièce de théâtre de bas étage visant à nuire à l’image des responsables marocains, un épisode d’une série de la campagne de propagande orchestré par le régime algérien et sa sbire Amal Boussaada ? Vendredi 19 janvier 2024, Theodoros Gotsis, porte-parole du ministère chypriote des Affaires étrangères, a baissé le rideau de ce « bordel théâtral » en déclarant, sans équivoque, que les allégations relayées par certains médias et l’agence de presse officielle algérienne APS faisant état de mandats d’arrêt à l’encontre de responsables sécuritaires marocains dont M. Abdellatif Hammouchi, patron de la DGSN et de la DGST, sont « totalement infondées ».
« Les autorités compétentes de Chypre, c’est-à-dire les services judiciaires et la police, confirment que ces allégations sont totalement infondées. Il s’agit là de fake news, aucune affaire pénale et aucun mandat d’arrêt n’ont été émis à l’encontre des personnes auxquelles lesdits médias font référence », a-t-il confirmé.
La relation de « bailleur de fonds » et « instigateur » du régime algérien et de « mauvaise langue au service du plus offrant » de Amal Boussaada est désormais évidente et implacable. Car au même moment où la dépêche de l’APS intitulée « De hauts responsables sécuritaires marocains font l’objet d’un mandat d’arrêt international », a été publiée le 16 janvier 2024, Amal crier au scandale sur les tous toits virtuels, tentant d’éclabousser la réputation intacte de responsables marocaines, à leur tête M. Hammouchi, dans une sale affaire, fruit de son imaginaire.
Bien entendu, Amal a été soutenue par des traîtres prêts à tout pour vendre leur pays contre quelques pétrodollars sonnants et trébuchants. A commencer par Driss Farhane, connu pour ses nombreux antécédents dans l’escroquerie et l’extorsion, qui a relayé l’intox en insistant qu’il s’agit d’une information de première main qu’il a obtenu de sources sûres. Ou encore Abdelkbir Belbssir de la chaîne Fossha ou Hicham Jirando, qui ne convinrent que les petites gens et les âmes faibles. Que diront-ils maintenant à leur « followers » après avoir véhiculé ces mensonges et soutenu une vile campagne de propagande à l’odeur de corruption, portant les empreintes d’un régime algérien impopulaire aux abois ? Le comble, c’est que même le terroriste Mohamed Hajib s’y est mêlé tantôt en jouant le rôle de porte-étendard des instigateurs et tantôt de fact checker, lui, qui a l’habitude de semer le doute et la terreur. Rien à ajouter, le tableau de cette pièce de théâtre abjecte est assez écœurant. En tout, l’agence de presse marocaine MAP, qui défend la déontologie professionnelle, n’a pas joué au lanceur de fausses alertes et informations comme l’a fait