Hamid El Mahdaoui, loin d’être un journaliste, n’est qu’un youtubeur médiocre prospérant sur la calomnie et le mensonge. Se drapant dans une prétendue posture de voix libre, il n’est en réalité qu’un porte-voix servile, aligné sur les agendas toxiques d’ennemis déclarés du Maroc. De ses vidéos imprégnées de haine et d’incitations, à l’accueil complaisant de figures expertes en dénigrement, il incarne celui qui troque sa conscience contre une poignée de vues et quelques dollars.
Sous couvert de liberté d’expression, il sélectionne cyniquement ce qui sert ses intérêts sordides. Se prétendant indépendant, il s’enlise dans un discours virulent, étrangement synchronisé avec celui des opposants les plus farouches du Royaume. Il recycle inlassablement des accusations éculées, issues de médias notoirement hostiles, comme si une main invisible orchestrait cette mascarade. Quel journalisme est-ce donc, qui s’abreuve de contrevérités et de rumeurs nauséabondes ?
El Mahdaoui n’est qu’un parasite numérique, quémandeur de clics, utilisant un discours incendiaire pour séduire les esprits crédules. Derrière ce théâtre, tout est calculé : titres racoleurs, discours haineux calibré, et jérémiades destinées à extorquer la compassion d’un public naïf.
YouTube est sa seule source de revenus, où l’audience alimente ses gains indécents. Peu importe la véracité du contenu, seule compte l’obsession des interactions. Ignorant les preuves qui contredisent ses propos, il attaque violemment ses détracteurs et supprime les commentaires exposant ses contradictions.
D’ancien homme de médias déchu à propagateur de sédition, El Mahdaoui incarne la déchéance morale, où l’appât du gain prime sur la vérité et l’intérêt national.