Le siège de la Ligue des Etats arabes a abrité, mardi au Caire, la 7ème réunion du Comité ouvert des experts gouvernementaux et des représentants des autorités indépendantes des États parties à la Convention arabe de lutte contre la corruption, avec la participation de représentants du Maroc.
Le Royaume du Maroc est représenté aux travaux de cette réunion, organisée par le département des Affaires juridiques du secrétariat général de la Ligue arabe et la Commission palestinienne anti-corruption (président de la 5ème session de la Conférence des États parties à la Convention arabe de lutte contre la corruption), par Abdelaziz El Houari et Oualid Akif de l’Instance Nationale de la Probité, de la Prévention et de la Lutte contre la Corruption, ainsi que Abdessalam Raissi de l’Agence judiciaire du Royaume.
La 3ème session du groupe d’examen de la mise en œuvre optimale de la Convention arabe pour la lutte contre la corruption s’est tenue, lundi au siège du Secrétariat général de la Ligue des Etats arabes, en marge de cette réunion.
La directrice du département des Affaires juridiques à la Ligue, Maha Bakhit, a souligné que ces deux réunions interviennent en application des décisions approuvées lors de la 5ème session de la Conférence des États parties à la Convention arabe de lutte contre la corruption, qui s’est tenue les 6 et 7 mai 2024 au siège du Secrétariat général de la Ligue, et qui recommande d’organiser conjointement les réunions du Comité ouvert des experts gouvernementaux et les réunions du Groupe d’examen de la mise en œuvre optimale de la Convention arabe pour la lutte contre la corruption, et ce, au cours du mois de septembre de chaque année, ou en fonction des besoins.
Les deux réunions constituent une opportunité pour discuter de plusieurs thématiques à l’ordre du jour, notamment l’examen de la présidence de la session du plan de travail pour la mise en œuvre de la 5ème session de la Conférence des États parties à la Convention arabe de lutte contre la corruption, et pour discuter des termes de référence du Comité ouvert des experts gouvernementaux, a-t-elle ajouté.