Trop, c’en est trop ! Qu’un petit journaliste inconnu qui se fraye une place au soleil par la diffamation et les injures ose insulter la presse marocaine et les journalistes marocains en les qualifiant dans un tweet sur son compte personnel sur le réseau social X de « chiens » et de « fous », c’est inacceptable. La Fédération nationale sociale de presse et la Confédération marocaine des éditeurs de journaux et des médias électroniques ont publié des communiqués pour dénoncer les dérapages immoraux du journaliste espagnol Francisco Carrión dont les propos font suite à un entretien réalisé avec Souleimane Raissouni sur le site « @elindepcom », qui comportait des offenses à l’égard de Sa Majesté le Roi et des autorités marocaines, les taxant de « corrompues et de criminelles ».
Le journaleux espagnol est un mercenaire, un vendu. Il est connu pour son hostilité à l’encontre du Royaume et pour être à la solde de certains partis politiques espagnols qui veulent envenimer les relations maroco-espagnoles et au régime algérien qui se montre généreux dès qu’une plume à louer est disposée à s’attaquer de manière virulente, sans foi ni loi, au Maroc et à ses institutions.
Les deux organisations professionnelles de la presse ont exprimé leur regret, par ailleurs, du silence du syndicat national de la presse et du Conseil national de la presse suite à cette attaque odieuse contre les journalistes marocains.