Les droits des femmes ont enregistré un saut qualitatif durant le règne de SM le Roi Mohammed VI, a affirmé, lundi, l’historiographe du Royaume et Porte-parole du Palais Royal, M. Abdelhak Lamrini. Intervenant intervenait lors d’une rencontre à distance organisée par le décanat de la Faculté des sciences de Tétouan, en partenariat avec l’Association Ribat Al Fath pour le développement durable, le responsable a assuré que « la période de règne de SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a connu un saut qualitatif dans le domaine des droits des femmes, puisqu’elles ont pu occuper des postes à haut niveau de responsabilité et prendre des décisions dans les domaines économique, social, éducatif, universitaire et académique, et leur nombre a doublé dans les institutions législatives, judiciaires et exécutives ».
Poursuivant son intervention, l’Historiographe du Royaume a rappelé la promulgation de nouvelles lois qui accordent aux femmes des droits et des privilèges qui les protègent, en particulier en matière du code de la Famille, contre l’exclusion, la discrimination et l’injustice des proches, notant que ces acquis ont consacré « la place de la femme comme l’un des piliers de la société ». Il a, à ce égard, noté que les constitutions marocaines successives, depuis l’aube de l’indépendance, se sont intéressées à la régulation de l’égalité homme-femme, et leurs articles stipulaient que les femmes et les hommes marocains sont égaux en matière de jouissance des droits politiques, électoraux, sociaux, économiques, judiciaires, administratifs et de gestion, estimant que « tout progrès ne peut être obtenu que par la concrétisation de cette égalité des sexes et une coopération équitable entre les hommes et les femmes, vu que l’oiseau ne peut voler, sans déployer ses deux ailes ».