Parbleu, est-ce qu’au sein du Parlement européen, au sein des 27 pays membres, la situation des droits de l’homme est irréprochable pour se préoccuper de ce qui se passe au Maroc, à des milliers de kilomètres à vol d’oiseau ? AU fait, rien n’est gratuit. Et rien n’est laissé au hasard. C’est le cas de la résolution adoptée mercredi 18 janvier 2023, par le Parlement européen relative à deux amendements liés au «Rapport concernant la mise en œuvre de la politique étrangère et de sécurité commune – 2022», où elle évoque le Maroc et la situation de la liberté de la presse, sans oublier la fameuse affaire de Omar Radi comme attendu.
Il y a quelques jours seulement, le Parlement européen était en branle-bas. Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer haut et fort des ingérences étrangères dans le dossier de la corruption qui a concerné de hauts dirigeants de cette institution européenne. Et maintenant, ils sont les premiers à s’immiscer dans les affaires intérieures du Maroc, voire pire dans les processus judiciaires d’un Etat souverain. Où est la logique dans tout cela ?
En plus de cela, les amendements adoptés ont été portés par des milieux hostiles au Maroc. Et pour finir, trouve-t-on innocent le fait que parmi tous les pays arabes et africains, c’est toujours le Maroc qui est le plus visé, ciblé et attaqué.
S’il y a quelques jours, le Parlement européen a reconnu être rogné par la corruption, il se peut que d’autres responsables tombent dans les jours à venir puisque l’enquête est toujours en cours. Cette même institution qui doit revoir ses cartes et faire le ménage chez elle donne des leçons et fait le lit de campagnes de propagande financés par les adversaires du Royaume. Quelle honte !